Puériculteur·trice

La puéricultrice assume les soins d’hygiène, de confort et l’alimentation des enfants de 0 à 6 ans. La puéricultrice veille au bien-être de chaque enfant dont elle a la responsabilité. Elle participe à leur éducation et à leur développement physique et socio-affectif en établissant une relation appropriée avec chaque enfant tout en choisissant un environnement éducatif adapté.

La formation

C’est un métier de haute responsabilité qui exige ainsi le développement d’une réelle posture professionnelle. Pour y parvenir, la formation de trois années propose une articulation constante entre approche théorique et approche pratique. Concernant la pratique, des stages sont organisés durant les trois années de la formation dans des milieux d’accueil de l’enfance variés. Concernant les cours d’option, un large choix de cours est proposé : soins, déontologie, diététique, psychopédagogie, techniques éducatives.

Les projets

Durant l’année scolaire et lorsque le contexte le permet, des projets liés à l’option sont mis en place : des sorties à l’extérieur (par exemple, au musée de l’enfant), une journée team-building pour toute l’option invitant les élèves à s’immerger dans le monde de l’enfant (ateliers divers de théâtre, de jeux en bois, de lecture d’histoire, de création de comptines, etc.), un petit déjeuner d’échange entre les trois années sur des thématiques variées, l’accueil et l’animation des élèves de primaires venant visiter l’école, la proposition d’ateliers multiples (à titre d’exemples, atelier culinaire, atelier grimage ou encore atelier jeux) pour les enfants durant la journée porte ouverte de l’école.

Débouchés

La profession de puéricultrice s’exerce principalement dans les crèches ou plus généralement dans les structures d’accueil collectif et d’accueil d’enfants à besoins spécifiques, à l’école maternelle, dans le cadre de l’assistance de l’institutrice maternelle et/ou de l’accueil extra-scolaire.

Une anecdote sur l’option ?

« Vous dites : c’est fatiguant de fréquenter les enfants. Vous avez raison. Vous ajoutez : parce qu’il faut se mettre à leur place, à leur niveau, se baisser, s’incliner, se courber, se faire petit. Là, vous avez tort. Ce n’est pas ce qui fatigue le plus. C’est plutôt le fait d’être obligé de s’élever. Jusqu’à la hauteur de leur sentiment. De s’étirer, de s’allonger, de se hisser sur la pointe des pieds…. Pour ne pas les blesser. « 

James KORCZAK.

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Grille horaire

Cours/Heures7e
Cours philosophique1
Philosophie et citoyenneté1
Français4
Éducation physique2
Histoire1
Géographie1
Éducation économique et sociale2
Éducation scientifique et technologique2
Mathématique2
Cours d’option
Psychopédagogie2
Soins2
Stages14

L’option en images